Jokei [Autre Monde]

Introduction.

Pour commencer l'histoire de Jokeï, il faut savoir que sa vie ne fut pas la plus simple. Elle n'a pas vécus que des moments roses. Et surtout, elle a vécus de façon différente. Elle n'a pas connus que Darkness comme aventure. Elle à eu une vie. Une longue vie, pas si paisible que ça.
Son histoire, se passe loin des terres des clans.
Son histoire commence vingt deux lunes avant aujourd'hui.
Son histoire commence.

I- Une vie, un peu trop parfaite.

a) L'Éveil.

- Non ! Je ne veux pas de ce monstre !
Ce fut les premières paroles qu'entendit Jokeï lorsqu'elle naquit. Bien évidement, elle ne les avais pas entendue réellement, c'était les paroles prononcées par sa mère. Une belle chatte grise. Chatte de bonne famille, elle avait eu une aventure avec un solitaire, genre rebelle chic. Elle était tombée sous le charme, immédiatement. Elle c'était sauvée de chez elle, pour vivre une vie de hors la loi, à ses cotés. Pourtant, malgré la création de cette joyeuse utopie. Il s'avéra que son rêve n'était qu'un leurre. Ce chat était un monstre. Un mutant. Il possédait des pouvoirs. Des pouvoirs étranges, paranormaux. Elle l'avait quitté, l'insultant. Hurlant à mort. Son espoir, d'un rêve égoïste, c'était envolé en fumée, en l'espace de quelques heures. Elle était blessée. Blasée. Pourtant, cette fois ci, quelque chose avait changé.
- Non je ne veux pas d'elle ! C'est un monstre !
- Mais Madame …
- Non ! C'est non ! Occupe toi d'elle.
- Mais comment pouvez-vous être sure que c'est celle ci ?
- Je le sens ! Emmène loin d'ici.
C'est ainsi que la servante de la mère de Jokeï l'emmena. Elle devait tuer la petite qui était dégénérée, selon la mère. Odayaka n'eut pas le courage de noyer la petite dans le petit ruisseau qui surplomber la ville. Alors que la demoiselle de la Dame commençai à plonger la petite dans l'eau glaciale, ce fut comme un halo lumineux qui vint lui murmurer de garder l'enfant en vie. La chatte croyant aux divinités, sortit la petite de l'eau. Elle devait maintenant lui trouver un foyer. Doucement, et discrètement elle fila dans les champs. Une seule personne pourrait sauver cette gamine.

- S'il te plait, protège cette enfant dont la nature est la mère.
Odayaka regarda la vieille femelle. C'était une femelle âgée, culturée et stricte. La chatonne serait surement à l'abri. Personnes ne connaissaient ses origines. Odayaka lécha la nourrisson et s'enfuit rejoindre son maitre. Pendant se temps Kibishii regarda attentivement la petite.
- Si la nature t'a protégée, c'est qu'elle est en toi. Jokeï.




b) Le chemin tout tracé

Jokeï avait bien grandis. Elle venait de fêter ses huit lunes sur terre. Elle était débordante de vie, mais pourtant elle restait très calme. Sa mère adoptive, Kibishii, lui faisait suivre un enseignement stricte, et rien ne devait manquer. Tout était planifié à l'avance.
Jokeï apprenait toutes les manières et règles de politesses pour les jeunes chattes de bonnes familles. Elle avait appris les formules de politesses, ainsi que la façon de marcher parfaitement ou bien les façons de se conduirent en publique. Elle était devenue parfaite.
Kibishii était une vieille chatte d'humain, lorsqu'elle avait ramené Jokeï ils avaient tout de suite étaient séduits par son aspect mignon, et faible. La chatte était une censée être une chatte écaille de tortue, mais avec le temps ses poils étaient devenus blanchâtres. Elle était maintenant majoritairement blanche.

Jokei marchait avec grâce – ou du moins essayait – sur le bord du trottoir. Kibishii l'avait corrigée plusieurs fois, mais rien n'y faisait. C'était une de leur balade régulière. Kibishii emmenait souvent sa protéger près de la mer. A vrai dire, notre petite chatonne tricolore adorait ce vaste océan bleu. Les deux femelles s'assirent près de l'eau. Assez loin pour ne pas être mouillée, bien évidement. Jokei se posait une question depuis certain temps.
- Dite moi, vous m'éduquez si bien. Mais, que ferais-je quand je serais plus grande ?
La vieille femelle tourna la tête, elle ne s'attendait pas à cette question. Pas maintenant, en tout cas.
- Et bien, tu resteras fidèle toute ta vie aux hommes, qui t'ont nourris, et aidé quand tu étais jeune. Eux, pour te récompenser, te feront faire des petits, avec un mâle qu'ils auront choisis. Bien évidement...
- Et si je n'aime ce chat ?
- On ne coupe pas la parole !
- Excusez moi …
- Donc, je disais, que bien évidement tout ta vie tu devras suivre ce qu'on te dit de faire. C'est sur, tu peux ne pas apprécier, mais qui sait, tu apprécieras un jour.
Jokeï baissa les oreilles. Cette vie n'était pas la vie dont elle rêvait. Celle qu'elle voulait. Elle ne broncha plus de tout le cours sur la vie que lui donnait Kibishii.
Malgré tout ce qu'elle devait à cette chatte, elle ne pouvait l'accepter.

c) L'avenir c'est comme l'amour, ça ne se commande pas. Ou presque pas.

- Mais, mais !
- Il n'y a pas de mais qui traine ! C'est ce que veulent les humains.
- Meuh ….
- QUOI ?
- Rien …
L'ancienne chatte écaille de tortue sourit. Elle non plus ne voulait cet avenir pour sa protéger. Mais bon, puisque les bipèdes le voulaient. Jokeï essayait de lui lancer des regards désespéré. Elle avait à peine neuf lunes, c'était si jeune. Elle allait tout gâcher. Ils allaient gâcher l'avenir de la petite. Mais, au final … Si la gamine devenait une parfaite chatte de famille, peut-être que sa mère accepterait de la revoir. L'ancienne soupira. A quoi bon ?




Jokeï marchait près de la plage. Elle longeait cette étendue d'eau d'un air triste. Elle semblait triste. Elle était triste. Dans quelques jours, elle découvrirait qui serait le premier père de ses futurs petits. Jokeï ne voulait pas avoir de petits. Elle n'était pas prête. Elle poussa un long soupir. Pourtant, sa démarche monotone, légèrement tangente attira le beau regard de quelqu'un. Ce félin, inclina sa tête vers la droite. Il s'approcha, hésitant. Il ne voulait pas qu'elle s'enfuit. Jokeï ne l'aperçut pas tout de suite.
- Kawa ?
Jokei fit le geste « non » de la tête. Mais elle demanda qui c'était. Ce mâle s'appelait Yasei. C'était un beau mâle au pelage chocolat. Dés qu'elle l'a vue, Jokei était tombée sous le charme de ce tombeur. Yasei disait connaître une chatte, qui lui ressemblait parfaitement. Jokei voulut la connaître. Ils se parlèrent pendant des heures, mais les minutes passaient si vite. C'est au moment où Jokei se rendit compte qu'il faisait nuit et qu'elle devait rentrer qu'ils s'arrêtèrent. Yasei lui promit de venir la chercher le lendemain soir pour qu'ils puissent se découvrir, et qu'elle découvre sa jumelle par la suite.

La journée du lendemain fut si longue. Jokei avait été punie car elle était rentée beaucoup trop tard. Elle c'était plongée dans un livre que les bipèdes lisait régulièrement. Oui, elle avait appris à lire, enfin les mots simples. C'était Kibishii qui lui avait appris, et la petite bipède le lisait à haute voix avec sa mère, tout en passant son doigt sur les lettres imprimées. Jokei avait passé sa journée dans la chambre de la petite, ayant le droit juste pour faire dans la litière. Elle s'apprêtait à s'endormir, quand Kibishii vint troubler ses songes.
- Il arrive, déclara la vieille chatte
- Hein ? De quoi ? De qui ?
Kibishii était-elle au courant pour Yasei ? Non, ce n'est pas possible. Cette dernière l'engueula pour son langage un peu trop familier.
- Il est gris, il a des yeux verts. Il ira parfaitement avec vous. C'est le chat de leurs meilleurs amis. Il va rester avec nous jusqu'à ce que tu sois prise.
Ah oui, il se nomme Tori.
Jokei resta clouée sur le lit. Si Yasei arrivait en même temps que ce mâle, elle ne pourrait jamais partir …
- Pss, Jokei ! Je suis la !
Jokei tourna la tête ! Il était venu la sauver ! Elle s'approcha de la fenêtre, et l'ouvrit. La facilité de l'ouverture venait sans doute de la petite humaine qui avait besoin d'air. Jokei s'apprêtait à partir
- Mademoiselle ! Pouvons nous savoir ce que vous faite ?
Jokei se tourna. Kibishii se trouvait sur le palier de la porte. Jokei lui lança un regard désolé.
- Je vais vivre MA vie. Celle que JE veux. Sumimasen.
Jokei sortit par la fenêtre et s'évada, loin. Très loin. Avec Yasei.

II- Une vie de Liberté

a ) La famille, c'est la plus importe. Quand celle ci veut de nous.

Jokei se coucha contre Yasei. Elle était folle amoureuse du mâle à la couleur si tentante. Ils passèrent leur nuit couchés comme deux amoureux. Pendant la nuit, Jokei lui avoua ses sentiments. Il ronronna, et lui lécha le museau. Elle planait, loin. Très loin. Le lendemain, ils se levèrent face à l'océan. Il la regarda
- Je t'ai menti … Je t'ai dis que je te présenterais Kawa, mais j'ignore où elle est … Elle c'est enfuis à la recherche de son père
Jokei haussa les épaules. Elle restait positive.
- Allons voir sa famille. Ils nous renseigneront peut-être.
C'est ainsi que les deux félins se dirigèrent vers un quartier opposé.

- KAWA ! Tu es revenue !
La servante de la chatte se précipita vers elle. C'était une belle chatte crème, d'environ vingt lunes. Elle serra contre elle Jokei. Sentant son odeur, elle se dégagea.
- Vous n'êtes pas Kawa.
Elle regarda d'un air méfiant, limite méchant.
- Bonjour. Je m'appelle Jokei. Je viens voir Kawa.
Odayaka se figea. Si sa maîtresse voyait la chatte, elle serrait renvoyée, pour ne pas avoir fait son travail. Odayaka, regarda vite fait Yasei, mais ne dit rien. Elle demanda à Jokei de la suivre.

- Je ne peux te montrer ma maîtresse. Mais si tu le souhaite, je peux te raconter ton histoire.
Jokei acquiesça. Elle voulait savoir.
- Très bien. Ta mère se nomme Youkou. C'est une chatte plein de principe et d'ambition. Pourtant, il y a environ douze lunes, elle est partie de chez elle. Elle était tombée folle amoureuse d'un mâle. Un solitaire, rebelle. Ils vécurent une belle histoire d'amour ensemble. Mais un jour, ta mère se rendit compte qu'elle aimait un monstre. Un chat mutant, qui possède une force paranormal en lui. Elle le quitta aussitôt. Malheureusement, pour elle, elle attendait des petits. De cette portés naquit deux jumelles. Une sans pouvoir, une avec. On ne peut pas distinguer laquelle avait des pouvoirs, mais Youkou à sentie que c'était toi. Elle m'a demandé de te tuer. Pourtant, au moment où je t'ai plongée dans la rivière, la nature m'a parlée. Je n'ai pas pus, et je t'ai emmenée chez Kibishii. Ma mère.
Jokei resta clouée. Sa mère l'avait reniée. Et elle devait la vie à cette chatte, jolie et charmante. Elle ne s'exprima pas. Elle ne savait pas quoi. Un long moment de blanc s'installa. Elle chercha Yasei des yeux, mais le mâle ne les avait pas suivies.
- Et pourquoi Kawa est partie ? réussit-elle à demander
- Kawa à tout découvert. Elle te recherche. Mais surtout, Kawa à appris qu'elle aussi avait une force. Elle est faible, mais elle est présente. Kawa peut soigner les gens, mais quand elle soigne, elle prend la blessure du guéris jusque celle ci se soigne.
- Je vois …

Les deux femelles parlèrent encore un peu. Puis Odayaka lui demanda de la suivre. Elles parcoururent un long chemin. La femelle crème la mena à une petite maison isolée dans les bois. Yasei les suivaient avec discrétion, tout en n'étant pas semé. Lorsque Jokei entra dans la maisonnette, elle crut voir son reflet.
- Ka- Kawa ?
- Oui ? Qui êtes .. OH !
Les deux félines se jetèrent dans les « bras » de l'autre. Elles se sentaient revivre. C'était comme si on leur redonner la moitié d'elles même.


b) L'amour rend aveugle. L'amour rend la haine immense.

Jokeï passa plus de cinq mois à vivre avec sa sœur, Yasei, et parfois Odayaka. Elle se sentait si libre. Sa sœur l'aidait à contrôler sa force. Et la maitriser. Odayaka aussi. Yasei lui la soutenait moralement. Il disait avoir peur de tout ça. Pourtant, il acceptait Jokeï comme elle était. Et ça la rendait heureuse. Elle commença à avoir des résultats concluant avec son « pouvoir » à partir de douze lunes. C'est à dire environ trois mois après être arrivée. Elle ne se rendait pas encore compte qu'elle c'était crée une brume utopique, et qu'elle devrait bientôt se réveiller. Jokeï avait même fait don de son corps à Yasei dans une nuit romantique, sous les étoiles. Sa sœur avait été gênée de l'apprendre. Parce que maintenant, Kawa et Jokei se disait tout. Elles étaient devenues complices, amies, confidentes. Leur séparation n'avait fait qu'aider leur amour à se renforcer. Amour, au sens amour fraternel bien évidement.

Pourtant. Jokeï allait bientôt fêter les seize lunes de sa vie. Sa sœur également. Alors qu'un soir d'été, elle se réveilla. Elle c'était assoupie comme un bébé en milieu d'après midi. Quand elle émergea, elle s'aperçut que Kawa et Yasei n'était plus dans le petit coin de paradis. Inquiète, elle décida de partir à leur recherche. Contrôlant ses pouvoirs, elle fit appel à la nature pour l'aider à trouver ses amis. Ce fut une fleur, qui avait pris ses yeux et ses oreilles qui les trouva.
- Non Yasei ! Je t'ai dis non !
- Tu voulais bien avant !
- Tu es avec ma sœur !
- Pff, tu sais très bien que c'est toi que j'aime !
- Yasei …
Yasei aperçut alors la fleur ayant les yeux bleus de Jokei. Celle ci en pleure partit en courant. Sa sœur à sa poursuite.

c) Quand l'orage éclate.


- JOKEI ! Hurla la voix de sa sœur.
- LAISSE MOI TRANQUILLE !
- Attend ! Où vas-tu ?
Jokei se retourna. Elle fit face à sa jumelle. Comme celle ci avait put lui cacher tout ça. Pourquoi ne l'avait-elle pas prévenu ? Mis la puce à l'oreille ? Et ce salaud ! Ce Yasei de merde ! Comment avait-elle put être berner. Et la cause, c'était Kawa. C'était à cause d'elle que Yasei ne l'aimait pas.
- Ne pense pas ça ! Devina Kawa
- Je rentre chez moi. Vous avez bousillés mon rêve ! JE VOUS HAIS. Je te hais ! TOUT CA C'EST DE TA FAUTE
- Jokeï …
- Maintenant casse toi !
Dans le ciel, un violet éclair déchira les nuages présent, et électrocuta les étoiles.

Jokei était sur la route de sa solution de secours. Depuis combien de temps n'avait-elle pas vu Kibishii ? Si longtemps, mais si peu. Elle arriva devant la maison, trempée jusqu'aux os. Elle hésita, quelques secondes puis se lança. Elle entra comme si elle était chez elle, en trainant des pattes. Miaulant le nom de sa tutrice.
- Kibishii ? C'est moi … Je suis revenue.
Elle entra dans le salon. La petite fit un petit cris de satisfaction ! Elle attrapa Jokei en hurlant le nom qu'ils lui avaient donné. Pourtant, quelque chose vint mettre fin à ce bonheur. Jokei fut reposée au sol, et vit alors Kibishii allongée sur le canapé, dans tes couvertures. Elle semblait si faible, et si malade.
- Jokeï ? Tu es revenue ?
- Oui, murmura la chatte les larmes aux yeux, qu'est ce que tu as ?
- Je suis vieille, c'est la fin. Mais raconte moi ta vie. Tu as beaucoup changée, tu es si belle.
La jeune chatte tricolore lui raconta alors son histoire, la vieille chatte suffoquait, mais écoutait avec attention.
- Je te l'avais bien dis, la vie c'est comme une flamme. Si tu joues avec, tu te brules.
- Mais cette flamme, elle est si tentante.
- Tu as raison. Je suis passée à coté de l'aventure. Vis ton histoire.
Jokei resta la nuit au chevet de Kibishii. Elle savait que l'ancienne partait. Partait pour un monde nettement meilleur. Puis la vieille mourut, laissant ses dernières paroles dans l'oreille de Jokei

d) Le pardon n'est donné qu'à ceux qui le mérite.

Jokei était repartie. Elle courrait de toute ses forces. Aller plus vite, aller plus loin. Elle devait retrouver sa sœur. Elle devait lui pardonner, sinon elle le regretterait toute sa vie. Elle ne voulait pas la perdre, pour un abrutis. Elle arriva près de leur magnifique coin de paradis. Elle hurla le nom de sa sœur
- KAWA ! KAWAAA
Seul son échos lui répondit. Un horrible sentiment la pris. Comme si on lui lacérait le ventre. Comme si elle explosait de l'intérieur. Kawa ! Elle traversa la forêt, pour arriver tout à la lisière. Sur une grande plaine, trônait le corps de sa sœur.

III – La Lumière dans les Ténèbres.

a) La haine ça ne s'apprend plus.

Jokei courrait comme une folle, elle avait l'impression que plus elle avançait, plus le corps de sa sœur reculait. Elle se stoppa brutalement. Un mâle, noir, regardait sa sœur. Le meurtrier ! Jokei n'en pouvait plus. Elle accéléra l'allure. Bondit et atterrit sur le mâle. Roulant tout les deux dans la boue – oui puisqu'il pleuvait et qu'ils sont sur une terre vierge en lisière de forêt -. Jokei essayait de le griffer, de le tuer. Aveuglée par la haine, elle fonçait tête baissée, regardant le sol boueux. Elle voyait bien que le mâle n'avait aucun mal à l'esquiver. Puis d'un coup, la température de son corps augmenta subitement.
- Souhaites-tu mourir ?
Jokei releva la tête. Le chat, c'était lui ? C'était lui qui réchauffer son intérieur ? Possible. Pourtant, Jokei croisa le regard mystérieux du félin. Ses pattes s'arrêtèrent immédiatement de lancer des coups. Elle ne bougeait plus.

- TU AS TUÉ MA SŒUR, hurla-t-elle
- Hmf. C'est ce que vous croyais ? J'ai fais fuir l'assassin. Un chat chocolat qui la lacérer de coup. Elle respirait encore il y a cinq minutes.
Jokei avait des larmes qui tombaient sur le long de son beau visage. Sa sœur... Elle l'avait perdue, avant même d'avoir pus … C'était Yasei ! Il avait tué sa sœur, parce que celle ci c'était refusée à lui ! Par sa faute … Jokei s'en voulait. Par dérivation, elle était responsable de la mort de Kawa. Jokei regarda le chat ténébreux. Il la vouvoyait, c'était assez rare.
- Je suis Jokei. Merci d'avoir redonné un peu d'honneur à ma sœur, dit-elle en s'inclinant.
- Je sais. Elle m'a demandé de vous retrouvez. Vous êtes venues toute seule. Je vais vous racontez.
Et le mâle raconta. Il avait été l'amant de sa sœur. Un de plus. Mais lui, il l'avait rencontré il y a longtemps. Il devait maintenant protéger Jokei, comme il avait protégé Kawa auparavant. C'était une promesse.

b) Le début du voyage

- Dit, Darkness. Où allons nous ?
Darkness regardait sa protéger. Ils allaient construire un clan, il avait tout de suite compris que Jokeï était spéciale. Il voulait protéger les chats qui en avaient besoin. Jokeï le suivrait partout, jusqu'au bout du monde. Même.
- Tu verras bien Jokei …

C'est ainsi que les deux félins partirent, pour des terres...
Inconnues ?

Conclusion.


- Regardez ! C'est Darkness et sa bande !
Les félins des quatre clans regardèrent leurs sauveurs se battre pour eux. La bataille ne dura pas bien longtemps. Jokei sortit des buissons. Elle n'avait pas le droit d'assister à une si petite bataille. Darkness disait qu'elle utilisait de l'énergie pour rien. Jokei restait donc en retrait, si le combat augmentait elle intervenait. Elle s'assit près de son chef, de son idole. Il l'avait aidée à sortir du noir quand elle avait perdue sa tutrice et sa sœur. Le combat était fini. Les chats de clans idolaient Darkness. En parlant de celui ci, Jokei vint se poser à coté de sa forte musculature.
- Bien, joué. Ils ne se sont aperçus de rien.
- Héhé, je savais que ces minables de chats se prétendant sanguinaires allaient attaquer grâce à un de notre clan. C'était facile d'arriver en tant qu'héros, mais j'ai laisser ces stupides félins s'amuser un peu, pour montrer aux guerriers que leurs chefs sont des bons à rien.
- Hm, tu as toujours été malin et ambitieux Darkness..Félicitation. Les chats de clans ont plus confiance en toi qu'en leurs propres chefs. Prochain plan ?
- Tu verras bien